Au début de l’année, alors qu’une vague de froid exceptionnelle s’abattait sur l’Asie centrale, la ville de Bichkek est restée plusieurs jours d’affilée en haut du classement des villes à l’air le plus sale du monde. Les habitants s’habituent malgré eux à cette situation, qui n’est pas prête de s’améliorer.
A Bichkek, les habitants n’ont pas pu respirer d’air pur depuis le début de l’hiver. C’est ce qu’a expliqué
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