L’arrivée de Chavkat Mirzioïev au pouvoir en Ouzbékistan s’est accompagnée d’une nouvelle politique étrangère régionale. Fini l’isolement instauré par son prédécesseur Islam Karimov, l’Ouzbékistan, l’un des pays les plus enclavés du monde, se re-connecte enfin à ses voisins par le rail.
Le train fera-t-il son retour en Asie centrale ? Alors que la majorité des trajets se font aujourd'hui par la route, les rails posés sous l'URSS pourraient à nouveau servir. Après la longue période d’isolement imposée par Islam Karimov, l’ex-président de l’Ouzbékistan, l’arrivée au pouvoir de Chavkat Mirzioïev en septembre 2016 a donné un nouvel espoir quand au futur du pays. Le nouveau président a instauré une nouvelle politique étrangère régionale, grâce à laquelle l’Ouzbékistan, l’un des pays les plus enclavés du monde, s’ouvre à l’Asie centrale et au monde.
Contrairement à Islam Karimov qui avait coupé tous liens avec les pays étrangers et avait privilégié la construction de chemins de fer . . .
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