Tchinghiz Aïtmatov par ses œuvres
Monument littéraire au Kirghizstan et dans toute l’ex-URSS, Tchingiz Aïtmatov a développé durant des décennies un récit parfois mystérieux, parfois conflictuel. À l’occasion d’un salon sur les littératures russophones, Novastan vous propose son portrait.
Les 8 et 9 février derniers se tenait à la mairie du 5e arrondissement de Paris, le Salon du Livre russe et des littératures russophones, où a résonné, le temps d’une lecture, une voix venue des lointaines steppes kirghizes. La présentation et la lecture d’un extrait de L’Oiseau migrateur de Tchinghiz Aïtmatov (1928-2008) se sont déroulées devant un public peu nombreux, une quinzaine de personnes tout au plus. Comme si l’écrivain ne bénéficiait plus de l’aura qu’il a connue, à l’époque où il était l’un des auteurs les plus lus en URSS et où Aragon l’avait promu au rang des plus grands dans sa préface à Djamilia.
En France, seuls trois de ses livres sont aisément disponibles : Le premier maître, Djamilia, et Il fut un blanc navire. Ils méritent assurément . . .
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