L'impact environnemental des Nouvelles routes de la Soie, projet majeur d'infrastructures chinois souhaitant relier la Chine à l'Europe, est trop souvent ignoré. Les investissements chinois n'ont pas pris en compte les principes de développement durable et la mitigation du changement climatique, s'alarment plusieurs ONG.
La plupart des pays d’Asie centrale participent volontiers aux Nouvelles routes de la Soie, aussi appelée Belt and Road Initiative (BRI), ambitieuse stratégie chinoise d’investissement dans la connectivité et les vecteurs commerciaux du continent eurasiatique. L'objectif de ce projet massif d'infrastructures lancé en 2013 est de relier la Chine à l'Europe par le rail ainsi que la Chine à l'Afrique par la mer. En quelques années, il est devenu le projet phare du président Xi Jinping, allant jusqu'à labelliser des projets d'infrastructures alors qu'elles n'étaient pas prévues dans le plan d'origine.
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Cependant, dès son lancement, la société civile et les communautés d’experts de tous les pays concernés tirent la . . .
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