Après une conférence internationale sur le thème de l'islam organisée à Bichkek, Catherine Poujol s'est entretenue avec Novastan sur l’évolution de la situation religieuse au Kirghizstan et sur les potentielles conséquences d'un tel événement. Interview.
Créer un islam kirghiz à l'abri des influences extérieures : c'est l'intention du président de la République kirghize, Sooronbaï Jeenbekov, réaffirmée lors du discours d'ouverture de la conférence internationale "L'islam dans un État séculier" qui s'est tenue à Bichkek les 15 et 16 novembre derniers. Appelant à la conservation d'un modèle "traditionnel" de l'Islam, le président kirghiz a souligné la nécessité d'une plus grande intervention de l’État dans les affaires religieuses.
Catherine Poujol, directrice de l'Institut français d’études sur l'Asie centrale (IFEAC) à Bichkek, revient pour Novastan sur la portée de cette conférence qui s'est déroulée dans le palais du chef de l’État . . .
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