Les autorités ont finalement opté pour l'entreprise russe afin de construire la première centrale nucléaire du pays, et ont évoqué le partenaire chinois pour en bâtir une deuxième, sans pour autant exclure la participation d'autres partenaires internationaux. Un choix à l'image des orientations de politique étrangère du pays.
C’était un choix qui tenait en haleine les filières nucléaires de France, Russie, Chine et Corée du Sud depuis plusieurs mois : qui allait remporter le contrat de construction de la première centrale nucléaire du pays ? Astana a finalement tranché ce 14 juin. C'est l'entreprise nucléaire russe Rosatom qui sera à la tête d'un "consortium international" pour la construire, a annoncé l'agence de l'énergie atomique du Kazakhstan. La même agence a ensuite déclaré que l'entreprise China National Nuclear Corporation (CNNC) était pressentie pour construire une deuxième centrale dans le pays.
Huit mois après le referendum national sur la question de l’atome au Kazakhstan, où le "oui" à l . . .
Vous avez encore 80 % de cet article à découvrir! Abonnez-vous maintenant pour seulement 3€ par mois
S’abonnerDéjà abonné ? Se connecter
En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.