Après les évènements de janvier au Kazakhstan, les autorités s’attaquent principalement à l’influence sur le système de l’ancien président Noursoultan Nazarbaïev et de ses proches. Avec de nombreux pouvoirs supprimés, le premier président kazakh semble marginalisé, quand l’actuel président Kassym-Jomart Tokaïev apparaît comme le gagnant de la crise.Au Kazakhstan, l’ancien président Noursoultan Nazarbaïev continue de perdre les leviers d’influences sur les institutions, qu’il avait conservés en quittant le pouvoir en mars 2019. Le 7 février dernier, le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev a approuvé des amendements de lois constitutionnelles qui réservent des postes particuliers à celui appelé « premier président de la République kazakhe », rapporte le média kazakh Tengrinews. Ces amendements ont été officiellement votés par le . . .
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