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La fake news de l’interdiction du mot coronavirus au Turkménistan s’est répandue à travers le monde

Bien que fausse, “l’information” publiée le 31 mars par Reporters sans frontières affirmant que le Turkménistan avait banni le mot coronavirus a fait le tour du monde. Tour d’horizon.

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La fausse information affirmant que le Turkménistan avait banni le mot coronavirus de ses médias a fait le tour du monde.

Bien que fausse, “l’information” publiée le 31 mars par Reporters sans frontières affirmant que le Turkménistan avait banni le mot coronavirus a fait le tour du monde. Tour d’horizon.

Depuis le 31 mars dernier et la publication d’un article de Reporters sans frontières (RSF) intitulé “Le “coronavirus” interdit de cité au Turkménistan”, l’information s’est répandue comme une traînée de poudre. Bien que cela soit une fake news

Lire aussi sur Novastan : Non, le Turkménistan n’a pas banni le mot “coronavirus” de ses médias

Au départ, on trouve un article du média turkmène basé à l’étranger Chronika Turkmenistana, affirmant que le mot coronavirus avait été retiré de certaines brochures médicales distribuées par les autorités. Contacté par Novastan, le rédacteur en chef du média turkmène indépendant Turkmen.news Ruslan Myatiev, explique que cette fake news est avant tout due à une mauvaise interprétation de RSF d’une information a priori véridique. “Le mot a effectivement . . .

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