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La gestion d’Uzbekistan Airways pourrait être transférée à une entreprise étrangère

Le 25 mai dernier, le président ouzbek Chavkat Mirzioïev a évoqué un possible transfert de la gestion de la compagnie aérienne nationale à une entreprise étrangère, sans toutefois la privatiser. Cette annonce intervient dans un contexte compliqué pour Uzbekistan Airways, dont pratiquement tous les avions sont cloués au sol à cause de la pandémie de coronavirus, et alors que, depuis quelques mois, le gouvernement ouzbek cherche à reconfigurer et à moderniser le secteur du transport aérien.

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Le 25 mai, le gouvernement a annoncé examiner un transfert de la gestion de la compagnie aérienne nationale Uzbekistan Airways a une "prestigieuse entreprise étrangère" (illustration).

Le 25 mai dernier, le président ouzbek Chavkat Mirzioïev a évoqué un possible transfert de la gestion de la compagnie aérienne nationale à une entreprise étrangère, sans toutefois la privatiser. Cette annonce intervient dans un contexte compliqué pour Uzbekistan Airways, dont pratiquement tous les avions sont cloués au sol à cause de la pandémie de coronavirus, et alors que, depuis quelques mois, le gouvernement ouzbek cherche à reconfigurer et à moderniser le secteur du transport aérien.

Quel avenir pour Uzbekistan Airways ? Le 25 mai dernier, au cours d’une réunion dédiée au secteur du transport, le président ouzbek Chavkat Mirzioïev a annoncé examiner la possibilité de céder la direction de la compagnie aérienne nationale à une « prestigieuse entreprise étrangère ». Toutefois, à ce stade, le gouvernement ouzbek ne parle pas de privatiser la compagnie, détenue à 100 % par l’agence ouzbèke de gestion des actifs de l’État. De plus, l’identité de l’entreprise étrangère qui pourrait voler au secours d’Uzbekistan Airways n’a pas été révélée.

Au cours de la réunion, plusieurs mesures financières ont également été prises, afin d’atténuer les effets de la pandémie de coronavirus. Ainsi, un prêt de 122 millions de dollars (environ 111 millions d’euros) et des avantages fiscaux d’un montant de 60 milliards . . .

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