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Tachkent rejette les accusations de l’ONU, qui a condamné la détention de Goulnara Karimova

Un groupe de travail des Nations unies a qualifié l’arrestation de Goulnara Karimova d’illégale et arbitraire. En réaction, l’Ouzbékistan a publié une réponse officielle, préférant mettre en avant les retombées positives de la restitution à l'Etat des fonds volés par la fille de l'ancien président.

Goulnara Karimova arrêtée par les forces de l’ordre ouzbèkes en 2014. Crédit : Davidson Ryan Dore via The Guardian
Goulnara Karimova arrêtée par les forces de l’ordre ouzbèkes en 2014. Crédit : Davidson Ryan Dore via The Guardian

Un groupe de travail des Nations unies a qualifié l’arrestation de Goulnara Karimova d’illégale et arbitraire. En réaction, l’Ouzbékistan a publié une réponse officielle, préférant mettre en avant les retombées positives de la restitution à l'Etat des fonds volés par la fille de l'ancien président.

Le 8 juillet 2025, un groupe de travail des Nations Unies a rendu un rapport sur la détention de Goulnara Karimova, dans lequel l'agence affirme que son arrestation et sa détention sont illégales et arbitraires.

Goulnara Karimova est la fille aînée de l'ancien président ouzbek Islam Karimov. Longtemps présentée comme une femme influente en Ouzbékistan, elle a été diplomate, femme d'affaires, styliste et chanteuse. Elle a aussi été impliquée dans plusieurs scandales de corruption à l’international, notamment dans des affaires de pots-de-vin liés à des entreprises de télécommunications.

L'affaire Goulnara Karimova, un feuilleton judiciaire

L'arrestation de Goulnara Karimova le 14 février 2014 a eu lieu sans mandat et sans aucun accord de justice au . . .

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