Accueil      Au Kazakhstan, la privatisation d’une partie du parc national d’Ile-Alatau fait polémique

Au Kazakhstan, la privatisation d’une partie du parc national d’Ile-Alatau fait polémique

La nouvelle du placement sous administration privée d’une partie du parc d’Ile-Alatau fait polémique depuis quelques semaines au Kazakhstan. L’entreprise, qui a obtenu 35 hectares du parc national pour près d’un demi-siècle, a pour projet d’y développer le secteur touristique. Le projet, qui se veut respectueux de l’environnement, fait face à une vive opposition des écologistes du pays.

Kazakhstan Ecologie Polémique Ile-Alatau Almaty Tourisme Ecotourisme
La privatisation d'une partie du parc national d'Ile-Alatau, dans le sud du Kazakhstan, a provoqué une levée de boucliers des écologistes (illustration).

La nouvelle du placement sous administration privée d’une partie du parc d’Ile-Alatau fait polémique depuis quelques semaines au Kazakhstan. L’entreprise, qui a obtenu 35 hectares du parc national pour près d’un demi-siècle, a pour projet d’y développer le secteur touristique. Le projet, qui se veut respectueux de l’environnement, fait face à une vive opposition des écologistes du pays.

Depuis quelques semaines, la privatisation de 35 hectares du parc d’Ile-Alatau, l'un des principaux parcs nationaux du Kazakhstan avec près de 200 000 hectares, fait polémique. En février dernier, l’administration du parc, proche de la capitale économique kazakhe, Almaty, a lancé un appel d’offres pour certains sites du parc afin d’y développer l’écotourisme, une forme de tourisme durable. Une seule entreprise, Touranga Group, s'est portée volontaire et a logiquement emporté l'appel d'offres en mars, a rapporté le 26 mai dernier le média kazakh Holanews.

Touranga Group a été désignée pour gérer les 35 hectares jusqu'en 2069. L'entreprise, inconnue et sans projets d'importance pour le moment, veut construire sept centres d’accueil pour les visiteurs du parc, 156 kilomètres de sentiers piétons, différents emplacements pour l'hébergement dont certains pour . . .

Commentaires

Votre commentaire pourra être soumis à modération.