Le No Name Bar est depuis peu l'un des bars les plus populaires de Bichkek, la capitale kirghize. Rencontre avec sa fondatrice, Evgueniya Sartova, qui revient sur le succès inattendu du bar qui n'a pas de nom.
Novastan reprend et traduit une interview initialement parue sur The Steppe.
Bad Boys Bar, puis No Name Bar : c'est l'histoire d'un lieu qui peut paraître banal à première vue et qui rencontre un grand succès, à la surprise même de ses fondateurs. Situé dans le centre de Bichkek, le No Name Bar est devenu un lieu incontournable des amateurs de cocktails et de bons moments. Sa fondatrice, Evgueniya Sartova, a raconté son parcours à The Steppe et revient sur le surprenant engouement autour du « bar qu'on ne nomme pas ».
The Steppe : Comment vous est venue l'idée d'ouvrir un bar ?
Evguenia Sartova : Lorsque j'ai eu 17 ans, je suis partie étudier à Saint-Pétersbourg, en Russie. J'y ai vécu près de six ans. À côté de mes études, je faisais de nombreux petits boulots et je travaillais notamment comme serveuse. Tous les vendredis, après . . .
Vous avez encore 80 % de cet article à découvrir! Abonnez-vous maintenant pour seulement 3€ par mois
S’abonnerDéjà abonné ? Se connecter
En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.