Que ce soit dans les médias ou sur les réseaux sociaux, Bichkek, la capitale du Kirghizstan, est régulièrement montrée du doigt pour ce qu'elle a de négatif. Il existe pourtant plusieurs raisons - au moins sept - de tomber amoureux de cette ville pleine de surprises.
Novastan reprend ici un article d'Amina Souleïeva initialement paru sur Kloop.kg.
Si vous jetez un œil à la section Politique et Société du populaire forum kirghiz Diesel Forum, vous verrez ce que d'aucuns appellent une manifestation de la conscience civique des citoyens. Pour d'autres, ce serait plutôt un espace de grogne perpétuelle des utilisateurs d'Internet.
Chaque mois, des dizaines, voire des centaines de personnes publient des posts relatifs à des problèmes rencontrés à Bichkek. Dans l'ensemble des discussions, seules quelques publications parlent de la capitale kirghize en termes positifs.
Lire aussi sur Novastan : «Pichpek-Frounze-Bichkek» : la ville dont il est impossible de ne pas tomber amoureux
La situation est la même du côté des médias : l'angle journalistique choisi est presque toujours négatif et Bichkek est souvent . . .
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Adilet, 2017-08-2
Il est vrai que Bishkek est la ville la plus tolérante de l’Asie Centrale. Le racisme est inexistant et le sexisme l’est aussi. Malgré deux ou trois petites conneries de la part de certains kirghiz conservateurs et de russes « occidentaux et supérieurs mentalement aux kirghiz » SJW les gens sont très tolérants.
Anecdote : Mon petit frère s’est un jour baladé tranquille en cosplay de Karkat avec tout son corps en gris au calme x)
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Simon, 2017-08-8
Bishkek est tres certainement une ville agreable a vivre ou on se sent particulierement et les points avances par l’articles sont justes. Le rascisme anti campagnard par les Bishkekois de naissance est cependant tres perceptible et demontre une importante fracture ville-campagne. Quant au sexisme, c’est probablement a celles qui le vivent d’en juger. Mais meme d’un point de vue masculin, force est de constater que ces dernieres sont bien representees mais que chaque genre reste neanmoins bien dans son role. Un rapide coup d’oeil aux personnes occupants les postes de decisions permet vite de voir que le sexisme reste de mise.
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