Le Turkménistan semble prendre le chemin du Venezuela qui, lorsque les cours du pétrole étaient en croissance rapide, s’identifiait également comme l'avant-garde d'un modèle économique alternatif au capitalisme.
La rédaction de Novastan traduit un article de Rafael Sattarov paru sur Forbes.ru qui dépeint la situation économique tragique au Turkménistan, pays le plus fermé d’Asie centrale.
Les dernières nouvelles en provenance du Turkménistan rappellent les « meilleurs » moments de l'Union soviétique de la fin des années 1980 quand, sur fond de crise systémique, les produits alimentaires disparaissaient des étals et les gens attendaient devant les magasins dans des files interminables.
Du Koweït au Venezuela
Après l'effondrement de l'Union soviétique, le Turkménistan s'est présenté comme le deuxième Koweït, mais la crise alimentaire actuelle a montré que le pays est plutôt le deuxième Venezuela. Ainsi, comme au Venezuela, les employés du gouvernement du Turkménistan, face à une telle situation, doivent faire preuve d'une solidarité totale avec le pouvoir et participer à l . . .
Vous avez encore 80 % de cet article à découvrir! Abonnez-vous maintenant pour seulement 3€ par mois
S’abonnerDéjà abonné ? Se connecter
En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.