Les supermarchés turkmènes, possédés par l'État, sont victimes d'intermédiaires aux marges faramineuses qui jouent avec le taux de change des produits importés. Le gouvernement ferme les yeux et les citoyens sont impuissants.
Novastan reprend et traduit ici un article publié initialement sur le média turkmène d'opposition Chronika.
Le système des supermarchés d’État au Turkménistan semble ne pas avoir évolué depuis l’époque soviétique. Ils sont toujours gérés par le ministère du Commerce, plus précisément l’un de ses départements, baptisé « Turkmenbakaleïa », qui se charge du commerce de gros et de détail.
Ces grandes surfaces vendent des produits laitiers, des pâtisseries, des sucreries, des huiles végétales, des boissons alcoolisées ou non, ainsi que des articles à base de papier (papier toilette, lingettes humides ou sèches) et de parfumerie (savon, shampoing, produits . . .
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