L’ONU a confronté la Chine lors d’une conférence sur la répressions des Ouïghours et autres minorités turciques du Xinjiang. La semaine précédente, la Chine accusait les pays membres des Nations unies d’utiliser l’organisation mondiale à des fins politiques pour entraver leur développement.
La question des Ouïghours et leur répression par la Chine est arrivée aux Nations unies. Le 12 mai dernier, une conférence en ligne, organisée conjointement par l’Allemagne, les États-Unis et le Royaume-Uni, a réuni 18 pays membres des Nations unies, des représentants des populations affectées et plusieurs ONG, comme Human Rights Watch (HRW) ou Amnesty International. Un événement inédit attestant de la mobilisation internationale sur cette question.
Comme l'a décrit l'agence Reuters, la conférence a abordé le sujet de la répression extrêmement sévère des Ouïghours et d’autres minorités turcophones de religion musulmane peuplant la province chinoise de la région autonome ouïghoure du Xinjiang. Les participants ont discuté des moyens dont . . .
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