Tachkent, la capitale de l’Ouzbékistan, se distingue par les nombreux panneaux de mosaïque installés sur les façades de centaines de grands immeubles d'habitation. Installés durant l’époque soviétique par les frères Jarski, nés en France, ces panneaux confèrent à la ville une unicité aussi bien artistique qu'urbanistique cependant aujourd'hui menacée.
Apparus suite au terrible tremblement de terre de 1966, les panneaux de mosaïque de Tachkent, présents principalement sur les façades de grands immeubles d’habitation, confèrent à la capitale ouzbèke un caractère unique. Ces œuvres, imaginées par trois frères nés en France de parents émigrés russes, sont cependant aujourd’hui menacées par le nouveau dynamisme immobilier de la capitale.
Le 26 avril 1966 Tachkent a subi l’un des tremblements de terre les plus violents jamais enregistrés de son histoire. D’une magnitude de 5,2 sur l’échelle de Richter, ce séisme a détruit près de 80 % de la ville, avec des dommages considérables principalement concentrés dans son centre historique.
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