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La mer d’Aral, un enjeu devenu social en Ouzbékistan

Deux conférences en ligne ont eu lieu les 3 et 4 novembre derniers sur la mer d’Aral. Il a été question des enjeux environnementaux, mais surtout sociaux et économiques qui y sont associés. Un constat a prévalu : la mer ne reviendra pas.

Ouzbekistan Mer d'Aral Environnement
Cimetière de bateaux sur l'ancien fond de la mer d'Aral (illustration).

Deux conférences en ligne ont eu lieu les 3 et 4 novembre derniers sur la mer d’Aral. Il a été question des enjeux environnementaux, mais surtout sociaux et économiques qui y sont associés. Un constat a prévalu : la mer ne reviendra pas.

La mer d’Aral est de retour, ou semble l'être dans les préoccupations gouvernementales en Ouzbékistan. Les 3 et 4 novembre derniers, deux conférences en ligne ont eu lieu sur la problématique environnementale de la mer, dont la surface a été divisée par 10 depuis les années 1960. La première était intitulée “Mer d’Aral : urgence environnementale et mobilisation de la diplomatie ouzbèke”. Organisée par l’Institut d'études de géopolitique appliquée (Institut EGA), cette conférence a fait intervenir l’ambassadeur d'Ouzbékistan en France, Sardor Roustambaïev ainsi que le vice-président du Conseil de la République du Karakalpakistan, la région autonome de l’Aral ouzbek, le docteur Jousipbek Kazbekov. La seconde, organisée par l’Agence d’information et de communications de masse de l’administration ouzbèke, était intitulée “Give Life to Aral Conference”.

La plupart des intervenants ont pris le soin de rappeler la nature de la “catastrophe” de la mer d’Aral, en insistant notamment sur son origine anthropique : la surexploitation de ses deux affluents, l’Amou Daria et le Syr Daria pour la production . . .

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