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Marchroutkas en grève : le témoignage d’un chauffeur à Bichkek

Le 2 avril dernier au matin, les habitants de Bichkek, la capitale kirghize, ont été surpris par une grève des conducteurs de marchroutkas, les minibus qui assurent le transport dans l'ensemble de la ville. Une annonce qui a surpris tout le monde et engendré des embouteillages monstres. Tout ceci en raison d'une nouvelle loi qui impose aux chauffeurs de marchroutkas de contracter une assurance pour chaque place assise dans les minibus et de porter un uniforme.

Arrêt Bus Grève Bichkek
Un arrêt de bus bondé lors de la grève du 2 avril 2018 à Bichkek

Le 2 avril dernier au matin, les habitants de Bichkek, la capitale kirghize, ont été surpris par une grève des conducteurs de marchroutkas, les minibus qui assurent le transport dans l'ensemble de la ville. Une annonce qui a surpris tout le monde et engendré des embouteillages monstres. Tout ceci en raison d'une nouvelle loi qui impose aux chauffeurs de marchroutkas de contracter une assurance pour chaque place assise dans les minibus et de porter un uniforme.

Novastan reprend et traduit le témoignage d'Aziz Sagynbaev, un chauffeur qui s'est entretenu avec une journaliste du média en ligne kirghiz Kloop.kg.

"La loi dit que nous devons assurer les places des voyageurs dans nos véhicules, c'est notre responsabilité. Et les compagnies de transport sont venues vers nous et ont voulu nous forcer à payer l'assurance avec une année d'avance. Mais nous ne pouvons pas verser autant d'argent d'un coup.

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