Accueil      Une rescapée des « camps de rééducation » chinois quitte le Kazakhstan

Une rescapée des « camps de rééducation » chinois quitte le Kazakhstan

Citoyenne chinoise d’origine kazakhe, Sayragul Sauytbay avait fui la répression du régime de Pékin contre les populations musulmanes et turcophones de la région autonome ouïghoure du Xinjiang. C'est un nouvel exil. Sayragul Sauytbay, une citoyenne chinoise d'origine kazakhe condamnée au Kazakhstan en octobre 2018, a décidé ce lundi 3 juin de demander l'asile dans un pays étranger. C'est son avocate, Aiman Umarova, qui a annoncé sur Facebook le départ de sa cliente pour l’étranger, sans préciser le pays. Elle indique simplement qu’il s’agirait de « l’un des pays les plus développés du monde ».

Xinjiang Région ouïgoure Urumchi Chine
La Chine est accusée par la communauté internationale d'interner massivement les Ouïghours pour les "rééduquer".

Citoyenne chinoise d’origine kazakhe, Sayragul Sauytbay avait fui la répression du régime de Pékin contre les populations musulmanes et turcophones de la région autonome ouïghoure du Xinjiang.

C'est un nouvel exil. Sayragul Sauytbay, une citoyenne chinoise d'origine kazakhe condamnée au Kazakhstan en octobre 2018, a décidé ce lundi 3 juin de demander l'asile dans un pays étranger. C'est son avocate, Aiman Umarova, qui a annoncé sur Facebook le départ de sa cliente pour l’étranger, sans préciser le pays. Elle indique simplement qu’il s’agirait de « l’un des pays les plus développés du monde ».

Plusieurs sources médiatiques indiquent qu’il s’agirait en réalité de la Suède. Ces sources précisent que Sayragul Sauytbay et sa famille, qui l’accompagne,

S’abonner

Déjà abonné ? Se connecter

En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.

Commentaires

Votre commentaire pourra être soumis à modération.