Au début de l’année, alors qu’une vague de froid exceptionnelle s’abattait sur l’Asie centrale, la ville de Bichkek est restée plusieurs jours d’affilée en haut du classement des villes à l’air le plus sale du monde. Les habitants s’habituent malgré eux à cette situation, qui n’est pas prête de s’améliorer.
A Bichkek, les habitants n’ont pas pu respirer d’air pur depuis le début de l’hiver. C’est ce qu’a expliqué le média kirghiz 24.kg en analysant les données de la plateforme suisse IQ Air. Depuis décembre dernier, la capitale kirghize bat tous les records de pollution, particulièrement à partir du 12 janvier où la concentration de particules polluées dans l’air était considérée comme « très dangereuse ».
Une situation tellement extrême qu'un député a évoqué le besoin d'instaurer l'état d'urgence dans la capitale. Une proposition qui a été refusée par le vice-ministre des Situations d'urgence, Edelbek Koulmato, le 19 janvier dernier, selon
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