Un référendum aura lieu le 11 décembre pour décider de l’adoption ou non du projet de réforme constitutionnelle au cœur du débat politique depuis plusieurs mois. Pourtant, malgré l’importance du scrutin pour l’avenir du pays et une opposition modérément visible au départ, aucune campagne n’est véritablement menée par aucun des deux camps depuis 2 mois.
Pour le président Almazbek Atambaïev et son administration, la constitution dans sa forme présente porte les germes d’un régime autoritaire. Critique envers le gouvernement provisoire issu de la révolution de 2010 et la présidente Roza Otounbaïeva, le chef de l’Etat leur reproche d’avoir légué au pays un texte constitutionnel écrit à la hâte et non adapté aux réalités du pays.
Un projet de réforme clivant
C’est la raison pour laquelle il a poussé un projet . . .
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