Suite à l’explosion de cas de coronavirus, certains Kirghiz et Kazakhs se tournent vers des remèdes miracles promus sur les réseaux sociaux et les messageries instantanées tels que WhatsApp et Telegram. Or, ces remèdes miracles pourraient avoir de graves conséquences sanitaires.
Depuis la mi-juin, l’Asie centrale fait face à une seconde vague de Covid-19, identifiée notamment par une accélération brutale du nombre de cas. Un reconfinement a été mis en place au Kazakhstan et en Ouzbékistan. Cette montée en puissance a également poussé les autorités kazakhes et kirghizes à revoir leurs statistiques sur le virus, en intégrant les cas de pneumonies aux cas recensés de Covid-19.
En réaction à une épidémie qui semble difficilement maîtrisée, la peur s’est emparée des populations locales, ces dernières cherchant à prévenir le mal par tous les moyens, notamment en ayant recours à des remèdes miracles, au grand dam des médecins . . .
Vous avez encore 80 % de cet article à découvrir! Abonnez-vous maintenant pour seulement 3€ par mois
S’abonnerDéjà abonné ? Se connecter
En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.