Le nouveau gouvernement kirghiz peut s'appuyer sur une très large coalition au parlement. Avec 95 députés sur 120, seuls 25 députés forment une opposition. Une situation qui a de quoi inquiéter.
Novastan reprend et traduit ici un article initialement publié par Kloop.kg.
La politique kirghize est en ébullition. Après la chute du gouvernement de Sapar Issakov suite à un vote de défiance le 19 avril dernier, des changements se sont produits au parlement. La coalition majoritaire s'est élargie avec l'ajout du parti Respoublika – Ata Jourt, qui avait vigoureusement critiqué l'action de Sapar Issakov durant ses 7 mois et demi de mandat.
Aujourd'hui, cette . . .
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