L’entreprise internationale française est en train de construire en toute discrétion la seconde chambre du parlement turkmène. Plus largement, avec des contrats de plus d’un milliard d’euros en cours, Bouygues Construction continue d’être un acteur majeur dans le pays le plus fermé d’Asie centrale.
Bouygues n’en finit plus d’être lié au Turkménistan. Selon nos informations, le géant du bâtiment français a été chargé de l'édification de la seconde chambre du parlement turkmène. Plus précisément, Bouygues a été désignée pour la construction d’un complexe de bâtiments pour le Halk Maslakhati, une assemblée populaire gouvernementale qui se réunit une fois par an. Créée en 1992, elle n’a pas été convoquée par le président actuel entre 2006 et 2017.
Mais cela va changer. Lors de la dernière assemblée le 25 septembre dernier, le . . .
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