Fondée en 1992, l’association parisienne Caravansérails a impulsé différents projets dans la ville de Boukhara, en Ouzbékistan. Le directeur de l’association, Philippe Barbier, la directrice adjointe Irina Mavlanova ainsi que l’architecte et restaurateur boukhariote Zoïrcho Klitchev ont détaillé à Novastan l’étendue des actions menées par Caravansérails, les réalisations à venir ainsi que les obstacles rencontrés.
L’association Caravansérails regroupe des architectes, des urbanistes, des enseignants, des photographes et a pour objectif d’établir un réseau de coopération technique et économique sur le patrimoine. Les projets sont menés en Ouzbékistan, à Boukhara notamment. L’objectif recherché par l’association et ses membres est premièrement de sauvegarder le patrimoine culturel des villes de la route de la Soie, puis d’équiper ces lieux afin d’y développer toutes sortes d’activités et d’y établir des liens culturels entre la France et l’Ouzbékistan.
Le projet Isteza représente la première pierre posée par le groupe franco-ouzbek fondateur de l’association. Une petite médersa du XIXème siècle, située au cœur de l’ancienne ville de Boukhara, a été restaurée par l’association pour y créer le centre culturel Isteza.
L’association a également sélectionné un ensemble de quatre caravansérails, situés dans l’ancien centre de Boukhara, afin d’y créer un . . .
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Marie Stricher, 3 months ago
Bonjour, j’ai lu avec intérêt les nouvelles du centre Isteza. J’organise régulièrement des stages carnets de voyage en Asie Centrale, notamment en Ouzbékistan, où je reviens cette année du 14 au 27 9 avec un groupe de dessinatrices, en commençant par la Mer d’Aral. Je travaille toujours avec l’agence de mon amie Iroda Nurullaeva et sa « route de Samarcande ». Ce serait intéressant d’organiser au centre Isteza, une rencontre des Françaises qui montreraient leurs dessins aux Boukhariotes intéressés ? Merci d’avance pour votre réponse. Cordialement.
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