Depuis les attentats de Tachkent en 1999, l’Ouzbékistan a introduit des mesures restrictives dans les espaces publics. Malgré la mort d’Islam Karimov, elles sont encore aujourd’hui appliquées.
Novastan reprend et traduit ici un article publié initialement par Centre1.
L’Ouzbékistan a connu une série d’attaques terroristes le 16 février 1999, la plus importante ayant touché le métro de Tachkent. Ce jour-là, six explosions simultanées ont lieu, dont une devant le Parlement, peu avant l’arrivée du président ouzbek d’alors, Islam Karimov. On dénombre 16 morts et 130 blessés.
Après ces attaques, le gouvernement a mis en place des mesures de restrictions des libertés drastiques, principalement pour Tachkent. Ces dernières sont encore en vigueur, même si certaines restent non officielles et ont aujourd'hui tendance à être abandonnée avec l'arrivée de Chavkat Mirzioïev au pouvoir. Centre1 a compilé 10 exemples frappants.
- Pas d'Internet dans le métro de Tachkent
Dans le cadre d'une réunion du Club de presse international, le ministre des Technologies de l'information et des communications, Sherzod Shermatov, a déclaré qu'en Europe, le d . . .
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