La campagne pour la nouvelle réforme constitutionnelle, présentée comme garantissant les droits et libertés fondamentales des citoyens, dont la liberté de la presse, bat son plein en Ouzbékistan. Mais les entraves au travail des journalistes, certes moins apparentes, sont toujours d’actualité.
Pendant plusieurs heures, une journaliste a été portée disparue en Ouzbékistan, après avoir été arrêtée par la police le 7 avril dernier, révélait un blogueur indépendant. Son arrestation était liée à sa participation à une enquête publiée le 9 février dernier par Radio Ozodlik, le service ouzbek du média américain Radio Free Europe, révélant l'emprise russe sur le gaz ouzbek. Ces derniers temps, plusieurs journalistes, critiques du référendum constitutionnel, ont également subi intimidations et pressions, rapporte The . . .
Vous avez encore 80 % de cet article à découvrir! Abonnez-vous maintenant pour seulement 3€ par mois
S’abonnerDéjà abonné ? Se connecter
En vous abonnant à Novastan, vous soutenez le seul média européen spécialisé sur l'Asie centrale. Nous sommes indépendants et pour le rester, nous avons besoin de votre aide ! Grâce à vos abonnements, nous pouvons rémunérer nos correspondants en Asie centrale.