Deux jours après l'explosion qui a touché le métro de Saint-Pétersbourg, les enquêteurs tentent d'établir si l'attaque a été commanditée par le groupe Etat islamique. Pour l'heure, aucune revendication n'a été émise. Décryptage.
Le 3 avril dernier, une explosion secouait le métro de Saint-Pétersbourg. L’attaque, qui n’a pas été revendiquée, a endeuillé la deuxième ville de Russie, faisant 14 morts et 49 blessés, et attiré de très nombreuses réactions attristées et messages de solidarité à travers le monde.
Très vite, l’attention des enquêteurs s’est portée sur un homme né au Kirghizstan, Akbarjon Djalilov, mort dans l’explosion. Avec l'attention portée sur ce pays d’Asie centrale, les contre-vérit . . .
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