Considéré comme la "Suisse de l'Asie Centrale" aux débuts de l'indépendance, le Kirghizstan semble ne pas avoir réussi à relever les défis d'une démocratisation. Quels sont les sources de cet échec ? La définition de la démocratie à l'occidentale peut-elle être adaptée au contexte kirghiz ?
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