Grégoire Domenach a rencontré Claude Ménard, chef français installé à Bichkek depuis quelques années. Il nous présente le parcours d'un chef français en pays kirghiz, passionné par son métier et désireux de transmettre.
Entrer dans cette boulangerie de la rue Moskovskaya à Bichkek, c’est d’abord retrouver un certain parfum de France : celui du pain cuit, des viennoiseries chaudes et de leurs couleurs dorées aux reliefs appétissants. Pains aux chocolats, croissants, tartelettes sucrées sont disposés derrière la vitrine. Les portes de la boulangerie Koulikovski, reconnaissable à son fronton violet-zinzolin, ont ouvert cet automne, avec un chef français au four et au moulin : Claude Ménard.
L’apprentissage…
L’homme est d’abord un passionné, un perfectionniste, à l’évidence, mais il est surtout un perpétuel curieux de son art. Il faut dire qu’à Bichkek, la capitale kirghize, les viennoiseries de qualité ne courent pas les rues, et c’est pourquoi Claude Ménard a voulu relever ce pari : permettre aux Kirghiz de savourer — mais . . .
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