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Apprentissage du kazakh : pour le président du Kazakhstan, « mieux vaut tard que jamais »

Les Kazakhs ne parlent pas suffisamment kazakh, estime Kassym-Jomart Tokaïev dans un post de blog. Le président kazakh prône un apprentissage plus poussé de la langue nationale, sans pour autant limiter la pratique d'autres langues comme le russe ou l'anglais.

Kassym-Jomart Tokaïev Kazakh Kazakhstan
Le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev n'est pas satisfait de l'apprentissage du kazakh (illustration).

Les Kazakhs ne parlent pas suffisamment kazakh, estime Kassym-Jomart Tokaïev dans un post de blog. Le président kazakh prône un apprentissage plus poussé de la langue nationale, sans pour autant limiter la pratique d'autres langues comme le russe ou l'anglais.

Le président kazakh commence à s'agacer du manque de pratique de la langue kazakhe. Dans un post de blog publié le 5 janvier dernier, Kassym-Jomart Tokaïev a affirmé que la connaissance de la langue officielle du pays incombait à chaque citoyen du Kazakhstan.

Le président kazakh dresse le constat que la jeunesse peut apprendre l’anglais ou d’autres langues en un temps assez court. Tout en reprenant un proverbe populaire, selon lequel "mieux vaut tard que jamais" , et de rajouter que le plus important est de « susciter de l’enthousiasme », le président plaide pour le développement de l’apprentissage de . . .

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