Accueil      Entretien avec le secrétaire général de l’Organisation des États turciques sur ses perspectives de développement

Entretien avec le secrétaire général de l’Organisation des États turciques sur ses perspectives de développement

Lors d’un forum spécial organisé à Bruxelles par l’Agence hongroise de promotion des exportations et l’Organisation des États turciques, son secrétaire général, Koubanytchbek Omouraliev, a accordé un entretien.

Koubanytchbek Omouraliev
Koubanytchbek Omouraliev, Secrétaire général de l'Organisation des Etats turciques, a accordé un entretien. Photo : Novastan.

Lors d’un forum spécial organisé à Bruxelles par l’Agence hongroise de promotion des exportations et l’Organisation des États turciques, son secrétaire général, Koubanytchbek Omouraliev, a accordé un entretien.

L'Organisation des États turciques (OET) doit relever de nombreux défis, notamment logistiques et commerciaux, pour maintenir sa cohésion et se développer. Ces questions concernent notamment le Kazakhstan, l'Ouzbékistan et le Kirghizstan en tant qu’États membres, et le Turkménistan en tant que pays observateur.

Un forum a été organisé à Bruxelles par l'Agence hongroise de promotion des exportations et l'OET. A cette occasion, Koubanytchbek Omouraliev, diplomate kirghiz, actuellement secrétaire général de l'OET, a accepté de détailler les perspectives de l'Organisation.

Novastan : Quelles mesures importantes l’Organisation des États turciques (OET) a-t-elle prises ces dernières années ?

Koubanytchbek Omouraliev : Nous avons élargi notre coopération multilatérale à 35 domaines différents, allant de la politique étrangère et du commerce à l’énergie, l’économie verte, le tourisme, la numérisation et même la recherche spatiale. La coopération économique entre les États membres constitue un aspect essentiel et dynamique de l’intégration et de la collaboration globales au sein du monde turc.

L’un des principaux mécanismes que nous avons mis en place pour renforcer la coopération est la Chambre de commerce et d’industrie turque (TCCI), qui constitue une plateforme clé pour le renforcement des relations commerciales entre nos États membres.

En outre, le Fonds d’investissement turc (TIF) est une autre étape importante. Initialement lancé avec un capital de 500 millions de dollars (461 millions d’euros), le fonds a maintenant atteint 600 millions de dollars (553 millions d’euros) avec l’adhésion de la Hongrie, soutenant les investissements mutuels, favorisant l’innovation et encourageant l’entreprenariat, en particulier au sein des petites et moyennes entreprises. Le Fonds devrait être activé cette année et commencer à investir dans des projets concrets dans notre région.

Un autre développement majeur est le Comité de facilitation des échanges (TFC . . .

Commentaires

Votre commentaire pourra être soumis à modération.