DECRYPTAGE. Alors que l’ONU a annoncé que le monde vit la pire crise économique depuis 80 ans, l’accès à Internet devient un facteur discriminant pour maintenir une activité économique et limiter les dégâts. L’Asie centrale est en retard de ce point de vue, et particulièrement certains pays comme le Tadjikistan et le Turkménistan comme le souligne la Banque mondiale lors d’une conférence en ligne le 2 décembre dernier.
Pourquoi l’Asie centrale a-t-elle pris du retard dans l’intégration d’Internet dans ses économies ? Novastan tente de décrypter les raisons de la déconnexion de l’Asie centrale et les perspectives de développement.
Quand infrastructure Internet rime avec activité économique préservée. Selon des responsables de la Banque mondiale, les pays les plus durement touchés par la pandémie de Covid-19 sont ceux qui ont pris du retard dans le numérique et n'ont pas réussi à construire une infrastructure efficace. Ces affirmations ont été formulées le 2 décembre dernier lors d'un briefing en ligne sur le Covid-19 et la fracture numérique en Asie centrale, relayé par le média tadjik Asia-Plus.
Alors que l’ONU a annoncé que le monde vit la pire crise économique depuis 80 ans, l’infrastructure numérique serait un filet de sécurité. Une bonne connexion Internet permet ainsi d’organiser le télétravail, la télémédecine ou encore l’éducation à distance. Autant de possibilités hors de portée d’une écrasante majorité de Centrasiatiques. Selon les données . . .
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