Les impacts économiques du coronavirus commencent à se faire ressentir, un an après le départ de la pandémie. Ce constat, valable pour l’ensemble de l’économie, l’est également pour les relations entre la France et les pays d’Asie centrale.
Sur le sujet, le bilan n’est pas entièrement catastrophique. Si les échanges avec certains pays sont dans le rouge, comme au Kirghizstan et au Turkménistan, d'autres pays tiennent bon. C’est notamment le cas du Kazakhstan, où les exportations françaises ont augmenté de 40 % entre 2019 et 2020, ou encore l’Ouzbékistan, où les importations et exportations ont explosé en proportion, sans pour autant représenter de grands montants. Davantage qu’un poids, le coronavirus semble plutôt agir comme un révélateur des relations franco-centrasiatiques. Décryptage.
Les liens économiques entre la France et l’Asie centrale à l’épreuve du Covid-19
Alors que la pandémie a conduit à une réduction générale des échanges, l’Organisation mondiale du commerce (OMC) prévoyant une baisse de 9,2 % pour 2020 au niveau mondial, le coronavirus semble agir comme un révélateur des relations entre France et Asie centrale.
Au premier abord, la situation est contrastée. Comme l’a remarqué l’ambassadeur de France au Kirghizstan François Delahousse sur sa page Facebook, le commerce bilatéral entre les deux pays a baissé de 34 % en 2020 par rapport à 2019. De même, selon les . . .
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