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Tchildoukhtaron : insoumises et presque inaccessibles, les filles pétrifiées du sud du Tadjikistan

Dans la région de Khatlon, à environ 250 kilomètres au sud de Douchanbé, se trouve un endroit unique, célèbre pour son paysage de falaises rougeâtres. La muraille naturelle formée par les Tchildoukhtaron (« quarante filles » en tadjik) est d'une beauté inhabituelle.

Tchildoukhtaron Tadjikistan Quarante filles

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La muraille naturelle formée par les Tchildoukhtaron (« Quarante filles » en tadjik) est particulièrement difficile d'accès.

Dans la région de Khatlon, à environ 250 kilomètres au sud de Douchanbé, se trouve un endroit unique, célèbre pour son paysage de falaises rougeâtres. La muraille naturelle formée par les Tchildoukhtaron (« quarante filles » en tadjik) est d'une beauté inhabituelle.

Novastan reprend et traduit un article publié le 26 octobre 2019 par le média russe spécialisé sur l’Asie centrale Fergana News.

Première constatation : il n'est pas aisé de se rendre à Tchildoukhtaron. Depuis la capitale Douchanbé, on peut accéder en taxi à différents districts de la province de Khatlon, mais les chauffeurs de taxi refusent d'aller jusqu'au site convoité.

« Nos voitures ne peuvent pas aller là-bas. Vous pouvez vous rendre au centre du district, ensuite commence une route accidentée, sinueuse et surtout non goudronnée. Pour la parcourir, il faut une jeep ou un véhicule tout-terrain », explique Saïvali au correspondant de Fergana News, au volant d'une Opel.

Impossible de faire autrement, plusieurs étapes sont nécessaires. Nous rejoignons d’abord la ville de Kuliab, puis le centre du district de Mouminabad. Dans le bâtiment de l'administration locale, le premier directeur adjoint du district, Askarcho Amirzoda, accueille le journaliste de Fergana.

Il s'avère qu'il arrive trop tard pour continuer : à 15 heures, le taxi du village de Tchildoukhtaron est déjà reparti, c'était le dernier de la journée. Ce ne sera pas pour aujourd'hui. Mais Askarcho . . .

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