Au Kirghizstan, malgré un âge légal de 18 ans, un grand nombre de mariages sont célébrés avec des épouses mineures. A l'occasion de la journée internationale des filles, le média kighiz Kaktus a réuni des témoignages de jeunes épouses.
Novastan reprend et traduit l'article, paru initialement par Kaktus.media.
Le 11 octobre dernier, la journée internationale des filles était célébrée un peu partout dans le monde. Cette journée a été mise en place afin de sensibiliser aux inégalités et aux problèmes sociaux subis par les petites filles sur toute la planète et liés directement à l’attitude de la société envers les femmes. Les sujets visés : l’accès à l’éducation, à une bonne alimentation, à une assistance médicale, aux droits sociaux, et à une protection contre les discriminations, les violences et le mariage infantile forcé.
Au Kirghizstan, le mariage précoce est un fléau. La chercheuse Rimma Sultanova a pris part à des études sociologiques sur la perception du genre dans la société. Elle a partagé avec la rédaction de Kaktus des détails sur les cas auxquels elle s’est heurtée.
Alina, mariée après l’orphelinat
La première histoire décrite par Kaktus raconte la sortie d’une jeune fille d’un orphelinat, que le média appelle Alina. Pourquoi a-t-elle quitté l’orphelinat ? Elle ne le sait pas. Mais elle ne se . . .
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