Alors que l’Organisation mondiale de la santé a débuté son inspection au Turkménistan, les Turkmènes commencent à sortir les masques. Accessoire contre la propagation du coronavirus ou bien pour éviter l’inhalation de poussière ? Les informations contradictoires fusent, compliquant encore un peu plus le mystère de la gestion turkmène du coronavirus.
Les autorités voudraient-elles épargner aux Turkmènes le désagrément d’une allergie ou bien cachent-elles l'apparition du coronavirus ? Le média turkmène pro-gouvernemental Turkmen Portal a publié le 7 juillet dernier une liste des conseils afin que la population puisse se protéger de la poussière. L'article affirme que les autorités, après avoir constaté qu’il y a une concentration anormale de poussière dans l’air, s’inquiètent pour les habitants d’Achgabat, la capitale, et suggèrent notamment le port du masque. Mais d’autres recommandations font tiquer : il est préconisé d’aérer au maximum les pièces, alors que l’atmosphère est décrite un paragraphe plus haut comme "pathogène". De même, il faut se laver soigneusement les mains pendant au moins vingt secondes, comportement . . .
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