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Au Tadjikistan, le gouvernement règne dans l’ombre de la guerre civile

20 ans après la guerre civile, le Tadjikistan ne cesse de repenser à cette période sombre de son histoire.

Manifestation Guerre civile Tadjikistan 1992 1997
L'une des manifestations de mai 1992, contre le résultat de l'élection présidentielle de 1991.

20 ans après la guerre civile, le Tadjikistan ne cesse de repenser à cette période sombre de son histoire.

Novastan reprend et traduit ici un article publié initialement par Radio Free Europe.

Le 27 juin, le Tadjikistan fête le 20e anniversaire des accords de paix qui ont mis fin à cinq ans de guerre civile dans le pays.  Mais aujourd’hui, certains Tadjiks considèrent que le pays va dans la mauvaise direction, celle de l’autoritarisme, pendant que d’autres se demandent pourquoi le peuple accepte les excès des élites dans un silence pesant.

La gestion du Tadjikistan est devenue une affaire de famille : le président Emomalii Rahmon est au pouvoir depuis presque le premier jour de la guerre civile (1992-1997). Aujourd’hui, en plus d’avoir éliminé ses opposants politiques, il a placé à de hauts postes plusieurs de ses enfants, dont Rustam Emomali à la mairie de Douchanbé, la capitale du pays.

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