L’heure est aux grandes manœuvres pour les autorités ouzbèkes dans le secteur agricole. D’ici à 2030, Tachkent veut réduire la place de l’État et moderniser son agriculture. Pour y parvenir, l’Ouzbékistan compte sur l’expérience des entreprises françaises qu’elle cherche à attirer dans le pays, en passant notamment par le Medef-International.
Sur le plan agricole, l’ambition de Tachkent est claire : libéraliser certains secteurs, même aussi florissants que le coton, d’ici à 2030. En la matière, l’Ouzbékistan est mobilisé pour attirer certains fleurons de l’industrie agricole française, avec plusieurs réunions du Conseil d’entreprises France-Ouzbékistan qui se sont déjà tenues en 2018 et 2019 à Tachkent.
La dernière en date a eu lieu le 8 septembre 2020, sous la forme d’un webinaire mêlant entreprises françaises de l’agroalimentaire, bailleurs de fonds internationaux et officiels ouzbeks, sous le patronage du Medef-International. Si, de leur côté, les autorités ouzbèkes entendent moderniser leur agriculture, les entreprises françaises comptent bien bénéficier du . . .
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