Alors que les cinq chefs d’États centrasiatiques étaient réunis au Turkménistan, ils n’ont pas pu s’entendre sur la signature d’un communiqué commun à propos de la mer d'Aral. La faute au Président kirghiz qui a refusé de signé le document final.
Le 24 août dernier, dans la zone balnéaire d’Avaza bordant la mer Caspienne au Turkménistan, les cinq chefs d’États d’Asie centrale se sont réunis pour tenir le conseil de haut niveau du Fonds international pour le Sauvetage de la mer d’Aral (IFAS), une première depuis près de dix ans.
À cette occasion, le Kirghizstan a choisi de ne pas signer le communiqué commun et a reproché à l’IFAS d'être une organisation inefficace et non transparente. Le Président kirghiz, Sooronbaï Jeenbekov, a notamment accusé l'IFAS de ne pas aborder les vrais sujets qui permettraient de résoudre le problème de la mer d’Aral.
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À l'heure actuelle, l’Asie centrale connaît une des pénuries d’eau les plus importantes de son histoire et les conséquences de l’assèchement de la mer d’Aral se font sentir à travers des tempêtes de sel d’une intensité sans précédent. Et, malgré l'urgence, les . . .
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