La semaine passée n’a pas été de tout repos pour la capitale kirghize. Avec des températures particulièrement froides depuis plusieurs années, Bichkek a dû subir la panne de l’usine de chauffage centrale privant de nombreux résidents de chaleur au sein de leurs logements. L’usine en question avait pourtant été récemment modernisée ces dernières années pour un coût évalué à 386 millions de dollars.
Novastan reprend, actualise et traduit un article initialement publié sur notre version allemande.
C'est une situation particulièrement délicate qu'ont connu les habitants de Bichkek, la capitale kirghize. Le 26 janvier dernier, la centrale de chauffage de la capitale, qui assure seule le chauffage urbain en hiver au sein des foyers bichkékois, s'est soudainement arrêtée alors que le pays connaissait l'une des périodes les plus froides de ces dernières années. Dans la soirée du 26 janvier, le mercure est tombé à -24°C. Les nuits suivantes ont été encore plus froides et la température n'est pas montée au-delà de -10°C au cours de la journée.
Avec cette panne généralisée, les radiateurs dans les appartements n'ont plus fourni de chaleur et les températures ont chuté dans de nombreux logements à 10°C, voire moins. Une situation amplifiée par le fait que de nombreux habitants de Bichkek vivent dans des bâtiments préfabriqués.
Une panne généralis . . .
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