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Centres de crise kirghiz : des institutions privées d’utilité publique ?

Alors que le Kirghizstan est considéré cette année encore comme le pays d'Asie centrale où les femmes sont le moins en sécurité, les centres de crise rencontrent des problèmes de financement et de soutien.

Bichkek Kirghizstan
Le Kirghizstan est considéré comme le pays où les femmes sont le moins en sécurité en Asie centrale (illustration). Photo : Héloïse Denis.

Alors que le Kirghizstan est considéré cette année encore comme le pays d'Asie centrale où les femmes sont le moins en sécurité, les centres de crise rencontrent des problèmes de financement et de soutien.

Un récent article du média kirghiz Kloop met en avant le fait que le Kirghizstan demeure le pays d’Asie centrale le plus dangereux pour les femmes. Malgré une légère amélioration par rapport au classement de l’année 2021, le pays est 95ème sur 170 pays dans l’index Women, Peace and Security (WPS). Devant lui se place l’Ouzbékistan, 94ème, le Tadjikistan, 90ème, le Kazakhstan, 80ème, et le Turkménistan en 58ème.

La 95ème position du Kirghizstan à l’Index WPS repose la question de l’action kirghize pour lutter contre les violences faites aux femmes. Les centres de crise présents dans le pays travaillent à améliorer la situation. Cependant, ils doivent faire face à l’épineux sujet du financement. Leur dépendance aux subventions étatiques et internationales les met dans une position délicate qui les pousse à chercher des solutions alternatives.

Les centres de crise . . .

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