Cinq mois après leur interpellation par les autorités kirghizes, la vingtaine de militants contre la rétrocession du réservoir de Kempir-Abad à l’Ouzbékistan est toujours en détention. Plusieurs ONG appellent à leur libération, alarmées par l'absence de chef d'accusation convainquant et par la prolongation de leur détention dans de mauvaises conditions.
Le 17 mars dernier à Bichkek, un rassemblement a réuni 150 personnes au parc Gorki de la capitale kirghize, exigeant la libération immédiate de la vingtaine d'activistes, de journalistes et d'hommes et femmes politiques ayant participé à ce qui est désormais appelé l'affaire Kempir-Abad, rapporte le média kirghiz Kaktus.
Le 22 octobre dernier, le Comité de soutien au
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