Avec la pandémie mondiale du coronavirus, le Kazakhstan a décidé de faire fonctionner ses mines d’uranium avec le minimum de personnel. Alors que le prix de la tonne d’uranium est en hausse, cette décision du premier producteur mondial inquiète à long terme.
Au cœur de la pandémie du Covid-19, avec la moitié de la population mondiale confinée et l’activité économique fortement ralentie, les cours des prix des matières premières liées à l’énergie ont une tendance à la baisse. C’est notamment le cas du pétrole, qui a chuté de 60 euros le baril en décembre 2019 à 18,8 euros en mars 2020, soit une baisse de 70 %. À l’inverse, le prix de l’uranium a augmenté de 24 à 26 dollars en moyenne en 2019 pour atteindre 29 dollars le 8 avril dernier. Le Kazakhstan, premier producteur mondial de cette ressource, se retrouve sous les projecteurs. La France, qui dépend en premier lieu de l’uranium kazakh pour son parc nucl . . .
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