La turcologue Aiman Kodar, spécialiste de l'Orient et rédactrice en chef du magazine Tamyr, explique pourquoi le fait d’être un retard apparaît comme une sorte de droit immémorial que l'on peut constater dans la vie quotidienne des Kazakhs. Elle élargit ensuite à d'autres normes de la culture kazakhe.
Novastan reprend et traduit ici un article initialement publié le 29 janvier 2018 par le média kazakh Caravan.
Le retard est-il constitutif de la culture kazakhe ? Cette question, clairement provocatrice, a été posée à Aiman Kodar, turcologue et rédactrice en chef du magazine culturel kazakh Tamyr. Pour y répondre, elle cite le psychologue Geert Hofstede, qui a travaillé sur les critères des particularités culturelles. « Il y a différentes strates » dit Aiman Kodar.
La première saute aux yeux dès que . . .
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