La mobilisation partielle en Russie en septembre dernier a affecté durablement les pays d’Asie centrale, qui ont accueilli des dizaines de milliers de Russes ne voulant pas aller combattre en Ukraine. Une seconde mobilisation est attendue et ne sera pas non plus sans conséquences pour l'économie et les populations centrasiatiques.

Bien que Moscou nie le fait qu'une nouvelle mobilisation de la population soit en préparation, des responsables du renseignement et des experts en Ukraine et en Russie estiment qu'une seconde vague pourrait bientôt avoir lieu. Dans une interview accordée au média russe Rossiyskaïa Gazeta le 13 janvier dernier, le chef du comité d'enquête russe Alexandre Bastrykine a souligné que les personnes naturalisées russes devraient être . . .