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One Water Summit : une réponse internationale à l’efficacité incertaine en Asie centrale

La question de la gestion de l’eau est un enjeu de taille en Asie centrale depuis de nombreuses années. Mais l’extension à l’échelle mondiale de cette problématique donne l’occasion de revenir sur ce sujet.

Qoch Tepa Canal Afghanistan Balkh
Le canal de Qoch-Tepa dans la région de Balkh, en Afghanistan. Photo : Wikimedia Commons.

La question de la gestion de l’eau est un enjeu de taille en Asie centrale depuis de nombreuses années. Mais l’extension à l’échelle mondiale de cette problématique donne l’occasion de revenir sur ce sujet.

C’est désormais officiel : les présidents français et kazakh ont annoncé et engagé la co-organisation d’une conférence mondiale sur l’eau, qui devra se tenir à New York en septembre 2024. Le but ? Parvenir à orchestrer une gestion mondiale de l’or bleu qui, en Asie centrale, représente un objet de tensions majeures.

Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la reconnaissance par la Conférence des Nations unies (ONU) sur l’eau de mars 2023 d’une crise mondiale de l’eau et d’une réflexion sur la fixation d’un agenda mondial de l’eau pour 2026.

Ainsi, le 10 décembre dernier a été lancé le comité de pilotage international du One Water Summit, conduit par l’ex-ministre française de la Transition écologique

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