Alors que le bilan environnemental turkmène est vanté comme étant proche des standards internationaux, de nombreuses zones d’ombres subsistent, entre création avortée d’un lac en plein désert et multiples fuites de méthane.
Novastan reprend et traduit ici un article publié le 19 mars 2021 par notre version anglaise.
Dans un article publié par le média turkmène Orient.tm le 16 février dernier, la journaliste Gozel Sahatova a salué la reconnaissance par le Turkménistan de la lutte mondiale contre le réchauffement climatique. Elle rapporte que, pour marquer l'occasion, 30 millions de graines seront plantées dans tout le pays au cours de l'année. Selon l'article de ce média officiel, cette contribution au bien-être du Turkménistan et de ses habitants, voire du monde entier, s'ajoute à de nombreuses autres contributions.
La modernisation des secteurs clés de l'économie (pétrole et gaz, agriculture, industrie) est mentionnée, tout comme le respect des normes internationales de sécurité environnementale. L'accent est également mis sur l'introduction de technologies économes en eau et en énergie et sur la valeur de l'expérience turkmène pour la pratique internationale.
L'article souligne également la ratification par le Turkménistan des accords internationaux sur le changement climatique : la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques de 1991, le protocole de Kyoto et l'Accord de Paris de 2015. L'État . . .
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