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Économie souterraine : l’Ouzbékistan en haut du classement en Asie centrale

Les calculs des experts de la Banque mondiale placent l’Ouzbékistan en tête du classement de l’économie souterraine en Asie centrale. En 2019, les activités associées formaient plus de la moitié du produit intérieur brut. Ces chiffres inquiètent le gouvernement. C'est une première place qui ne réjouit pas Tachkent. Selon un rapport de la Banque mondiale dédié à l'économie souterraine publié le 11 mai dernier, l'Ouzbékistan a la plus grande part d'économie informelle en Asie centrale, avec 52,11 % du produit intérieur brut (PIB). L’économie souterraine est un mélange d’activités illégales et d'activités légales réalisées illégalement. Ces activités forment une portion de l’économie qui peut être estimée en pourcentage pour chaque pays en utilisant le modèle MIMIC (Multiple Indicator Multiple Cause). En Asie centrale, la Banque mondiale a estimé que l'économie souterraine équivalait à 40,76 % du PIB au Tadjikistan, 36,65 % au Kazakhstan, et 30,53 % au Kirghizstan.

Economie souterraine Asie centrale Ouzbékistan
Plus de la moitié de la richesse nationale de l'Ouzbékistan proviendrait de l'économie souterraine, selon la Banque mondiale (illustration).

Les calculs des experts de la Banque mondiale placent l’Ouzbékistan en tête du classement de l’économie souterraine en Asie centrale. En 2019, les activités associées formaient plus de la moitié du produit intérieur brut. Ces chiffres inquiètent le gouvernement.

C'est une première place qui ne réjouit pas Tachkent. Selon un rapport de la Banque mondiale dédié à l'économie souterraine publié le 11 mai dernier, l'Ouzbékistan a la plus grande part d'économie informelle en Asie centrale, avec 52,11 % du produit intérieur brut (PIB).

L’économie souterraine est un mélange d’activités illégales et d'activités légales réalisées illégalement. Ces activités forment une portion de l’économie qui peut être estimée en pourcentage pour chaque pays en utilisant le modèle MIMIC (Multiple Indicator Multiple Cause).

En Asie centrale . . .

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